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Résumé :
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Traduit du suédois par Anna Gibson. En 2012, après avoir vu l’épisode des téléfilms « Wallander » de la BBC inspiré du court roman qu’il avait écrit en 2004, Mankell décide de publier son texte originel : un vrai concentré de « Wallander », un ultime cadeau à ses lecteurs ! Chronologiquement, cette enquête précède la toute dernière, L’homme inquiet. C’est l’automne en Scanie, avec son lot de pluie et de vent. Wallander est en fin de carrière et se sent au bout du rouleau. Il aspire à une retraite paisible, rêve d’acheter une maison à la campagne et d’avoir un chien. Il s’enthousiasme pour une ancienne ferme et pense avoir trouvé son bonheur. Pourtant, lors d’une dernière déambulation dans le jardin à l’abandon, il trébuche sur ce qu’il croit être les débris d’un râteau. Ce sont en fait les os d’une main affleurant le sol. Les recherches plus poussées mènent à une découverte encore plus macabre. Au lieu d’une maison, Wallander récolte une enquête. Jusqu’où devra-t-il remonter le temps, et, surtout, à quel prix, pour identifier cette main? Dans ce récit concis, vif et terriblement humain, Mankell nous offre un Wallander bougon à souhait et aborde une tranche méconnue de l’histoire de la Suède pendant la Seconde Guerre mondiale. En fin de volume, un portrait touchant de Kurt Wallander par l’auteur nous dévoile enfin la genèse du commissaire. Parution simultanée, en format poche, de Un paradis trompeur.
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